La première « vraie » fessée d’Adeline

Catégories : Femmes fessées
il y a 8 ans

Par Yohan

Adeline avait un petit frère, Christophe, d’un an environ de moins qu’elle, et une petite sœur, Grettelle beaucoup plus jeune. Moi, j’étais le copain de Christophe qui m’a rapporté cette anecdote et, si je n’en ai pas été témoin, d’autres m’ont convaincu qu’elle était bien réelle.

Voilà donc comment Adeline pourrait se souvenir de sa première vraie fessée.

Autant que je me souvienne, je n’avais reçu que quelques claques sur les fesses et autres sermons mais ensuite je ne fus plus aussi privilégiée…

Nous étions tous les cinq en vacances dans un camping près d’Arcachon. Pré-ado, j’avais de plus en plus envie de liberté, et les premiers signes de ma puberté faisaient leur apparition. En tout cas, je me souviens d’avoir été particulièrement infecte depuis le départ de la maison.

Je traînais avec quelques copains et copines qui avaient beaucoup plus de liberté que moi.

Mardi matin, comme chaque jour, j’enfilai en râlant mon maillot une pièce car mon père n’avait pas cédé. « Pas de deux pièces, voyons ! », avait-t-il répondu à ma demande. Et me voilà en vadrouille avec le petit groupe d’amis et… Christophe qui m’avait été imposé par les parents. Alors que j’aurais pu m’amuser avec tout le monde, je me retrouvais avec ce satané gamin collé à mes baskets. Après l’avoir un peu tourmenté, il rentra en pleurant à la caravane, ce qui allait encore me valoir des réprimandes !

Le repas se passa sans trop de tracas, et nous fûmes envoyés lui et moi faire la vaisselle. Au retour, ne supportant plus ce pot de colle, je trouvais amusant de lui baisser le short juste avant d’arriver à notre emplacement.

Grosse erreur !

Il se prit les pieds dans l’herbe, fit tout tomber, s’écorcha les genoux, et, je ne sais trop comment, il réussit aussi à se faire une coupure sur un bras. Il braillait comme un cochon qu’on égorge, et bien entendu nos parents arrivèrent en trombe.

  • Mais qu’est ce qui s’est passé, hurla ma mère sous le regard amusé des passants.

Je peux vous dire que je n’en menais pas large !

  • Qu’est-ce qu’il y a encore, s’esclaffa mon père arrivant sur la scène et m’attrapant par le bras.

En moins de temps qu’il ne faut pour le dire, ma mère ramassa mon frère et la vaisselle, et mon père me traîna vers l’avancée de la caravane. Entre deux pleurs, Christophe raconta tout, et il ne me loupa pas ! A la porte de la caravane, notre mère commença à soigner ses bobos, et mon père me prévenait qu’il allait s’occuper de mon cas.

Comme souvent, plus de peur que de mal, il avait eu beau me promettre une fessée du tonnerre, en réalité, ce ne fut que quelques claques sèches sur mon maillot me lançant un peu, mais rien de bien grave. Enfin c’est ce que je pensais… Mais, voyant mon frère en train de se plaindre, j’ai esquissé un sourire et ses gesticulations m’avaient même fait rire. Seconde énorme erreur ! Mes parents ont aperçu mon petit manège… Et là, le ton a changé : mon père a posé une chaise au milieu de l’avancée avant de m’attr a p e r par le bras.

  • Tu dépasses les limites depuis samedi Adeline, et tu vas comprendre que ton comportement doit changer !

Mais que voulait-il dire ?

En deux temps trois mouvements, me voilà sur ses genoux. Il recommença la fessée, mais cette fois, beaucoup plus sévère. Et après quelques claques – chose nouvelle pour moi ! – me voilà déculottée, ce qui en maillot ne me laissait plus rien sur le dos. Les claques redoublèrent d’intensité, et je m’étais rapidement retrouvée en larmes. Bien qu’assez pudique face à Christophe, les mouvements désordonnés de mes jambes lui ont permis de voir toute mon intimité. Le pire dans tout ça, c’est que proximité oblige, tous les voisins avaient profité des différents effets sonores de cette fessée carabinée.

Une fois terminé, mon père m’a doucement redressée et avec mes fesses endolories, il m’a mise au coin, les mains sur la tête, dans l’angle de la caravane. Je pleurais toutes les larmes de mon corps. Me voilà donc, complètement nue, les mains sur la tête, j’avais l’impression que tout le camping pouvait me voir. Ma honte monta encore d’un cran lorsque j’entendis arriver ma bande de copains.

  • Adeline est là ? On va à la piscine.

  • Non, pas aujourd’hui ! répondit sèchement mon père.

Personne n’insista. Ils rebroussèrent chemin. Ouf !

Le temps passa, mes fesses retrouvaient petit à petit leur couleur originelle, mes bras s’engourdissaient, mais vu ce que je venais de prendre, je vous jure que je ne bougeais pas. Après quelques instants, mon père installé autour de la table devant la caravane, m’appela :

  • Adeline, viens ici maintenant !

Je baissai les bras.

  • Tu gardes les mains sur la tête tant que je ne te dis pas le contraire !

Bon, me voilà prévenue, et vu le ton, je n’avais vraiment pas envie de le contrarier plus.

Je me retournai avec effroi lorsque je ne trouvais pas mon maillot dans la caravane. J’aperçus ce petit bout d’étoffe rose sur la table où se trouvait mon père. S’il croyait que j’allais sortir comme ça… il se trompait.

  • Tu ne veux tout de même pas me faire répéter ! Adeline, viens ici tout de suite !

Ma volonté m’abandonna, et à petits pas, me voilà en train de sortir de l’avancée, nue comme un ver, imaginant que tout le camping s’était réuni pour assister à ma sortie. Mais en fait, il était 15 heures et tout le monde était à la plage ou la piscine. A ma grande satisfaction, il n’y eut que mes parents et mon frère pour assister au spectacle.

Me voilà donc les mains sur la tête, face à mes parents, Christophe ne loupait pas une miette.

  • Maintenant tu vas obéir, et te comporter comme la jeune fille que tu es, sinon, tu te retrouveras dans la même position autant que nécessaire.

  • Oui Papa.

Il me redonna alors mon maillot de bain, j’ai pu enfin baisser les bras et cacher mon intimité.

En m’habillant, je jetai un coup d’œil aux alentours, à première vue, personne n’avait assisté au spectacle. Les vacances se sont terminées sans autres soucis, ma seule erreur fut d’avoir été sûrement trop sage, ce qui a encouragé mes parents à avoir recours aux punitions corporelles par la suite, mais ça, c’est une autre histoire…

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